Série 4 : monolithes

Monolithe. Je n’aime pas donner de titres à mes œuvres – du moins des titres simples, courts – parce que je crains que cela ne limite l’imagination du public.

Monolithe. J’aime ce mot pourtant, peut-être parce qu’il est taiseux, difficile d’accès – d’un bloc. Il intrigue, comme la masse qui est au centre de ces œuvres, autant de tentatives d’en définir les contours.

Au travail minutieux des couches s’ajoutent, dans cette série, des effets de vernis, des contrastes entre mat et brillant, pour aller toujours plus loin dans le travail de la matière.

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